Dans une certaine ville, il y avait des prisonniers. Un jour, le roi est venu parmi eux et a commencé à demander à chacun d’eux d’expliquer ce qui les avait conduits en prison. Presque tous ont affirmé qu’ils étaient innocents et ont blâmé quelqu’un d’autre pour leur situation. Certains ont même accusé le juge d’avoir accepté un pot-de-vin. Un jeune homme parmi eux a cependant répondu : « Monsieur, je mérite d’être ici. J’ai volé de l’argent ; personne n’est fautif à part moi, je suis coupable ». En entendant cela, le roi donna l’ordre de libérer le jeune homme et il fut remis en liberté.
C’est également vrai pour le salut. Tant qu’une personne n’est pas prête à admettre qu’elle est un pécheur ayant besoin de salut, elle ne peut pas être libérée de sa culpabilité et de sa condamnation. Avez-vous déjà dit : « Je plaide coupable ? ». Si non, faites-le maintenant, car vous ne pourrez jamais vous sauver. Souvenez-vous, s’il s’agissait d’une question de pouvoir, de puissance et d’autorité, David en tant que roi préférerait se sauver lui-même plutôt que d’admettre sa culpabilité, ses méfaits, son erreur. C’est ainsi que nous connaissons les enfants de Dieu : ce n’est pas qu’ils ne s’égarent pas, mais quand ils le font, la culpabilité de cette erreur ne leur permet pas d’avoir le cœur en paix jusqu’à ce qu’ils demandent et obtiennent le pardon.
TB Joshua